Ce matin, dans l'avion, que j'ai pris très tôt, pour Perpignan, où mes affaires m'attendaient - j'aimerais bien savoir quels sont mes interlocuteurs; le marché est en train de changer de main - j'étais assis à côté d'Isabelle A. Elle m'a appris qu'elle venait d'acheter une maison perdue dans la montagne près de Céret, loin de tout, à plusieurs kilomètres de la route et des premiers voisins.
La sécurité de sa nouvelle demeure semblait la préoccuper au-delà du raisonnable.